Sortie au LAM

pour les 4/4

 

 

 

Les élèves découvrent l’exposition :

 

« Jean-François MILLET »

 

au Musée des Beaux Arts

de LIlle

en décembre 2017

 

 

 

« La grande rétrospective internationale au Palais des Beaux-Arts de Lille met en lumière un artiste profondément inventif et admiré de l’avant-garde, dessinateur talentueux. Trop longtemps étiqueté “peintre paysan”, ses peintures et dessins révèlent avant tout l’univers sensible et poétique d’un peintre hors norme qui a profondément marqué Van Gogh, Pissarro, Seurat, Gauguin, Permeke, Dali et plus récemment Banksy. »

 

 

C'était les 4° l'année dernière au FRESNOY

 

Septembre 2017

Performance !

Les collections du Centre Pompidou, 1967 - 2017

 

http://www.lille3000.eu/portail/evenements/performance-centre-pompidou

 

« Performance ! bouscule la pratique de l’exposition.  

 

Le projet met en scène une histoire singulière, jouant de l’instant éphémère et de sa possible
répétition. S’y croisent les nombreux domaines artistiques qui convergent dans l’œuvre performée : la danse et la chorégraphie, la musique et les pratiques sonores, le langage du geste construit par toutes les possibilités du corps, les dispositifs ouverts d’installations participatives ou immersifs, plaçant au cœur de l’œuvre l’expérience du spectateur.»

 

 

 

Cette fois, les élèves de 4ème vont au Théâtre de la Découverte à la Verrière à LILLE voir:

 

Construire un feu
d’après Jack LONDON.

 

 


"Je  saisis rarement une intrigue, mais presque toujours des situations. Souvenez-vous de mes histoires, et vous verrez qu'elles sont le plus souvent construites autour d'une situation humaine simple mais forte." Jack LONDON


"En hiver, dans le Grand Nord canadien, un chercheur d'or marche dans la neige accompagné d'un chien. Il espère retrouver son campement et ses compagnons avant la fin de la journée. C'est son premier hiver au Klondike, et aujourd'hui il est surpris par l'intensité du froid. Alors qu’il avance dans ce désert blanc, soudain la glace casse sous ses pas. Seuls ses pieds sont mouillés, mais l'homme sait qu'il doit agir immédiatement pour les sauver du gel. Méthodiquement, il construit un feu et commence à se réchauffer. Son inexpérience fait qu'il s'est installé sous un arbre couvert de neige qui s'effondre sous l'effet de la chaleur et éteint son feu ... "

 

C'est à la

Condition Publique

de ROUBAIX que les élèves découvrent l’exposition :

 

« STREET GENERATION(S) 40 ans d’art urbain»,

 

« Aujourd’hui, le Street Art apparaît comme étant sans conteste le mouvement artistique le plus important de la fin du XXème et du début du XXIème siècle.

 

Des précurseurs devenus légendes aux jeunes générations qui réinventent ses codes sans relâche, un corpus artistique solide émerge et l’art urbain entre dans l’histoire de l’art.

 

À travers les œuvres de 50 artistes de renom, créées spécialement pour l’exposition ou issues de collections privées, des interventions in situ et hors-les-murs et des documents d’archives, l’exposition STREET GENERATION(S) 40 ans d’art urbain dresse un panorama complet, inédit en France, de ce mouvement foisonnant.. »

 

Mars 2017, une sortie pédagogique est organisée au FRESNOY à Tourcoing. Les élèves de 4° découvriront l’exposition :

« Poétique des sciences »,

suivie de l’atelier « La matière dans tous ses états ».

«  Le FRESNOY propose  l’expérience d’une occupation singulière de la grande nef en invitant quatre artistes mettant en scène les changements et les métamorphoses de la nature pour nous donner à voir des interprétations poétiques et artistiques en faisant référence aux faits scientifiques.

 

A  partir  de  l’observation  de  quelques  œuvres  de  l’exposition,  les  élèves  seront  invités  à expérimenter avec l’artiste Ludivine SIBELLE plusieurs manipulations chimiques simples, inspirées par le travail d’Hicham BERRADA qui crée tout un microcosme coloré en associant des produits chimiques dans un bécher. Ils feront ainsi naître des micro-mondes, proposant chacun des jeux de matières et de couleurs différents.

Comme chez l’artiste, ces petits théâtres alchimiques manipulés par les élèves seront filmés et projetés en direct, transformant la matière en image et l’expérience chimique en performance ».

 

LILLE 3000

Les élèves découvrent l’exposition : « La joie de vivre »

 

       Exposition phare de la saison de Lille 3000, Renaissance, « Joie de vivre » aborde toutes les époques et tous les modes d’expression. De l’Arcadie, société idéale célébrée au temps de l’Antiquité, aux petits bonheurs de tous les jours (la famille, l’enfance, le jeu), sans oublier la musique, la danse et la fête, l’exposition nous rappelle toutes les raisons que nous avons de nous réjouir.

 

C’est le musée tout entier qui est investi par la joie de vivre : le visiteur est d’abord accueilli par une joyeuse Nana jaune de Niki de Saint Phalle, puis il découvre un montage de "feel good movies", ces films et chansons qui rendent joyeux… À l’entrée de l’exposition, il est baigné par la lumière d’un lever de soleil en néons signé Mark Handforth

 

 

Les élèves ont vécu une expérience unique : « L’usine de films amateurs de Michel GONDRY »

L’Usine de Films Amateurs invite le public à venir créer son propre film en 3h, en suivant un protocole simple, imaginé par Michel GONDRY.

23 décors différents (métro, café, vidéoclub...), des caméras, des costumes...Les décors ont été créés in situ dans une dynamique collaborative associant les étudiants de l'ESAAT encadrés par leurs enseignants, et sous la direction du scénographe Nicolas BAUMANN.

Ce vendredi 13 novembre, les élèves de 3° et de 4° DAR  sont allés à la Condition Publique de ROUBAIX, participer à l'Usine de Films Amateurs de Michel GONDRY.
En suivant un protocole très précis, les deux classes avaient trois heures pour prendre connaissance des décors, choisir un ou plusieurs genres pour leur film respectif, écrire un scénario, distribuer les rôles et le cadreur, filmer les séquences en "tourné-monté", dessiner la jaquette du DVD et regarder tous ensemble leur réalisation.
Nous n'avons pas révolutionné le septième art, mais selon l'idée de Michel GONDRY qui souhaite que par ce système, des personnes d'horizons et de conditions diverses se réunissent et s'amusent autour d'un projet de création. Alors, nos élèves ont largement réussi.

A. FALCONNIER

 

Les élèves découvrent l’exposition : « Phnom Penh »

à l'Hospice Comtesse de LILLE

Le 17 avril 1975, les soldats Khmers rouges entrent dans Phnom Penh et, en trois jours, vident la ville alors habitée par un million et demi de personnes. La capitale devient une cité fantôme. Il faudra attendre le milieu des années 90 pour que la reconstruction de la ville opère.

Exposés dans la prestigieuse salle des malades du musée de l'Hospice Comtesse, une vingtaine d'artistes viendront célébrer la renaissance de la capitale cambodgienne. Ils représentent la puissance créatrice émanant de Phnom Penh en s'inspirant de la ville dans plusieurs domaines : vidéos, photographies, performances, street art, sculptures.

Les Ados Naissants

Le théâtre de l’Aventure propose un spectacle aux élèves de 4° : Les Ados Naissants

« Ce spectacle est conçu pour sensibiliser les élèves au spectacle vivant, et sa forme permet d’instaurer avec eux un réel échange autour de thèmes qui les touchent, mais qui sont parfois difficiles à aborder sous une forme traditionnelle. Il s’agit d’engager une réflexion active sur la citoyenneté, de créer un véritable dialogue, de travailler ensemble vers un but commun, de s’interroger sur les notions de respect de soi, d’autrui»

         Ce spectacle aura lieu à l’Amphithéâtre du collège le mardi 31 mars.

"Le Coups du Fantôme" à la Gare Saint Sauveur

Le 26 septembre et le 3 octobre dernier,les élèves de 4° sont allés voir l'exposition "Le Coup du Fantôme" à la Gare Saint Sauveur à Lille.

Le but de cette visite n'était pas seulement de voir de l'art contemporain mais bien de s'immerger dans cet univers.

L'art contemporain ne se donne pas seulement à voir mais à vivre.Les élèves ont ainsi plongé dans le travail de Sun Yuan et de Peng Yu, traversé une rivière de cubes de mousse noire.

Contemplés la course d'un anneau de fumée détruit inexorablement par un balai mécanique.

Et enfin, ils se sont trouvés face à un balcon où Roméo aurait pû clamer son amour pour Juliette ,mais de ce balcon étaient expulsés divers objets: papiers, livres qui clamaient leur nécessité à dire et à se projeter face à la censure.